Monde

Le pays connaît une série de manifestations à la suite de l’effondrement du toit d’une gare de la ville de Novi Sad en novembre.

Pour les Européens, le bilan du sommet de l’Alliance atlantique, le 25 juin, n’est pas glorieux. Il leur a fallu se plier aux exigences du président américain et accepter une déclaration finale très en retrait sur la Russie et la guerre en Ukraine.

Dans la foulée d’une riposte télégraphiée de l’Iran, le président américain a annoncé une trêve de 24 heures qui doit mettre fin à « la guerre des 12 jours ».

La MEA a décalé deux vols initialement prévus lundi soir, un Beyrouth-Dubaï et un Beyrouth-Doha.

Le Qatar, Bahreïn, l’Irak, le Koweït et les Émirats arabes unis ont temporairement fermé leurs espaces aériens, dans le sillage des frappes inédites de l’Iran sur la base américaine d’Al-Udeid au Qatar.

Le président turc s’est exprimé au lendemain d’un attentat dans une église à Damas qui a fait au moins 22 morts.

« Plus de la moitié » des lanceurs de missiles iraniens ont été détruits, a indiqué le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.

Vladimir Poutine s’est montré optimiste quant à la possibilité de désamorcer la crise entre Israël et l’Iran, assurant jeudi qu’une « solution » diplomatique « pouvant convenir aux deux parties » était envisageable.

Sur son réseau Truth Social, le président américain Donald Trump déclare que les États-Unis « savent exactement où se cache le guide suprême iranien, mais ne comptent pas le tuer pour le moment ».

« Des drones israéliens ont tiré sur les gens. Quelques minutes plus tard, des chars israéliens ont tiré plusieurs obus », a affirmé le porte-parole de la défense civile palestinienne à l’Agence France-Presse.

Au quatrième jour du conflit, les frappes entre les deux parties se poursuivent. D’après les États-Unis, le guide suprême iranien aurait pu être tué par Israël sans leur veto.