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Guerre au Proche-Orient : les pressions des chancelleries sont-elles en train de payer ?

Depuis les attaques sur Beyrouth et Téhéran, les efforts diplomatiques se multiplient pour éviter une guerre régionale. Une semaine a passé et l’Iran et le Hezbollah n’ont pas répliqué, les pressions des chancelleries sont-elles en train de payer ?

Les échanges de tirs entre le Hezbollah et Israël se poursuivent mais la riposte à l’assassinat du chef du Hamas, Ismaël Haniyeh à Téhéran, annoncée par l’Iran et ses alliés, n’a toujours pas eu lieu. Est-ce le signe que les efforts diplomatiques pour éviter l’embrasement de la région sont en train de payer ? C’est en tout cas ce qu’affirment des hauts fonctionnaires américains interrogés par le média Politico, sous couvert d’anonymat.

Se rétracter, un terrible signe de faiblesse

Selon eux, Téhéran est de plus en plus aligné sur le point de vue de Washington. Si ces déclarations sont rassurantes, elles sont cependant à considérer avec précaution. L’Iran et son allié, le Hezbollah, ont promis une riposte. Se rétracter serait perçu comme un terrible signe de faiblesse.

Source : europe1.fr